La Nouvelle-Zélande vend aux touristes du monde entier l’image d’un paradis vert, mais Auckland est d’abord celui de l’automobile et un haut lieu de pollution. Derrière ce non-dit se cache l’aboutissement de la colonisation implacable avec laquelle se confond l’histoire de ce pays.
Publié dans le numéro 4 (séptembre 2009).