Alors que les politiques publiques favorisent la démolition des grands ensembles, l’architecture de l’après-guerre est à la mode chez les historiens. Glissant de l’histoire sociale à l’histoire culturelle, ils renversent l’interprétation de la production de cette époque et en réhabilitent de larges pans. Comment comprendre ces nouvelles écritures de l’histoire et le rôle qu’elles entendent jouer dans le débat contemporain ?
Publié dans le numéro 3 (mars 2009).