Quatre ans après la soutenance de sa thèse en histoire de l’architecture à l’université Princeton, où elle étudiait les liens entre l’architecture moderne et la politique, Mary McLeod, jeune enseignante à Columbia et membre du comité de rédaction de la revue Assemblage (dirigée par K. Michael Hays), démontait point par point la doctrine déconstructiviste, aggravation d’une tendance de fond due au néo-libéralisme des années 1980 : l’évanouissement du rôle social et politique de l’architecte. Nous publions ici la traduction, inédite en français, de la seconde partie de cet important document critique.
Publié dans le numéro 11 (2013 printemps).