Abandonné des sciences humaines, absent des approches critiques autres qu’économiques, le chantier pourrait pourtant nourrir une fonction spéculative de l’architecture, défend Pierre Bernard. Il s’adresse ici aux étudiants et aux jeunes architectes, parfois désarmés devant le silence et les oublis de leurs aînés s’agissant des rapports entre théorie et pratique, et qui sont à la recherche d’outils de réflexion pour s’engager dans l’acte total qu’est construire.
Publié dans le numéro 2 (septembre 2008).